Jannik Sinner titré : "Ma petite amie a perdu à Berlin..."
ATP - HalleLa grande finale a tenu toutes ses promesses à l'ATP 500 de Halle. Pour sa première sortie en tant que numéro 1 mondial, Jannik Sinner a tenu son rang. L'Italien s'est fait quelques frayeurs lors des premiers tours, bousculés par Tallon Griekspoor, Fabian Marozsan et Jan-Lennard Struff. Mais personne n'a été capable d'empêcher le vainqueur de l'Open d'Australie de soulever son 14e trophée ATP, le premier sur gazon. Pour la deuxième fois de sa carrière, il défiait Hubert Hurkacz dans une finale. Mais contrairement à Miami 2021, c'est Sinner qui a cette fois pris le dessus. Succès 7-6(8), 7-6(2). En plus d'être le premier Italien à remporter ce trophée, il est seulement le deuxième n°1 de l'histoire à s'imposer à Halle après un certain... Roger Federer.
Jannik Sinner après sa victoire à l'ATP 500 de Halle
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"J'ai hâte d'être à Wimbledon"
Durant son discours lors de la remise des trophées, Sinner a eu un mot pour sa petite amie Anna Kalinskaya. Cette dernière disputait, en même temps que l'Italien, sa finale à Berlin. Elle s'est inclinée contre Jessica Pegula malgré cinq balles de match. "Ma petite amie a joué à Berlin aujourd'hui (dimanche), elle a perdu avec des balles de match donc je suis vraiment désolé pour elle... mais elle a aussi passé une semaine incroyable," a-t-il déclaré. L'Italien a aussi félicité son adversaire et ami, Hurkacz. "Hubi, toutes mes félicitations pour avoir disputé une autre finale. 2022, tu as gagné ici. Bravo également à ton équipe, vous faites un travail incroyable. Nous sommes de très bons amis en dehors du terrain. Nous avons joué en double en début de semaine. Nous voir jouer la finale ici, c'est très spécial. Merci beaucoup. C'était un match difficile. Je suis très heureux de ce tournoi car c'est la première fois que je gagne sur gazon, c'est un bon sentiment. J'ai hâte d'être à Wimbledon. L'année dernière, j'ai atteint les demi-finales et j'ai joué du bon tennis. Voyons ce qui m'attend cette année."
Publié le par Paul MOUGIN