Arthur Cazaux a eu un malaise contre son ami Harold Mayot
ATP - Miami (Q)Le choc qui opposait lundi soir Arthur Cazaux à Harold Mayot, comme un remake de la finale de Roland-Garros junior, remportée alors par le Lorrain, n'a pas pu aller à son terme en qualifications du Masters 1000 de Miami. C'est à nouveau le Lorrain qui l'emporte, mais il a profité d'un fort étourdissement de son adversaire juste avant de servir à 2-1, 30/30 dans la dernière manche. Le Montpelliérain a donc fort logiquement été forcé d'abandonner et a été évacué en fauteuil roulant (6-4, 5-7, 1-2). Les images sont impressionnantes.
Le malaise en plein match d'Arthur Cazaux au Miami Open 2024
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Le tableau du Miami Open 2024, le Masters 1000 en cliquant ICI
La conclusion d'une tournée américaine compliquée...
Le cocktail chaleur/humidité de Miami explique probablement cette situation. Preuve de la débauche d'énergie qu'il a dû fournir pour revenir à un set partout. Une tournée qui finit en queue de poisson puisque depuis qu'il a posé le pied aux États-Unis, Cazaux n'a remporté qu'un match. En espérant qu'il pourra se remettre rapidement. Il est attendu la semaine du premier avril à Estoril. Pour le moment, le jeune joueur n'a donné aucune nouvelle...
Critiqué, Harold Mayot a fait une mise au point sur les réseaux
Critiqué par certains pour un supposé manque de réaction, ce qui est d'ailleurs totalement faux, Harold Mayot a pris la parole sur les réseaux. "Arrêtez de lancer une fausse polémique pour rien. Cela faisait plusieurs jeux qu’il ne se sentait pas bien et qu’il commençait à cramper. Je ne l’ai pas vu tomber et j’ai cru qu’il s’était allongé car il avait une crampe. Quand j’ai compris que c’était sérieux, je suis de suite allé auprès de lui et j’étais très inquiet. J’ai fait le maximum pour aider. Il n’y a qu’une grande amitié et complicité entre nous et depuis toujours. Il faut arrêter d’envoyer votre haine tout le temps. Je lui souhaite un bon rétablissement et le meilleur". Une fausse polémique parfaitement éteinte par le Lorrain.
Publié le par Alexandre HERCHEUX