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Sinner à Alcaraz : "Le calendrier surchargé... Il faut choisir"

ATP - Pékin
Mis à jour le par Antoine GUILLOU

Le numéro 1 mondial est arrivé en Chine pour y disputer l'ATP 500 de Pékin. Jannik Sinner, tenant du titre, défiera le Chilien Nicolas Jarry au premier tour. En attendant, l'Italien est à l'entraînement en Chine, avec les deux nouveaux membres de son équipe : Marco Panichi, préparateur physique, et Ulises Badios, physiothérapeute. En conférence de presse, le vainqueur de l'US Open a partagé sa joie de revenir en Asie, et a répondu à Carlos Alcaraz, qui s'était plaint du calendrier ATP surchargé. L'Espagnol avait partagé. "Aujourd'hui, il y a beaucoup de blessures à cause du calendrier et d'autres choses, mais à un moment donné, il y aura des joueurs qui devront sauter des tournois parce qu'ils doivent s'occuper de leur corps, de leur famille et d'une autre vie que le tennis."

Jannik Sinner et sa nouvelle équipe, à Pékin

 

Retrouvez ici le tableau complet de l'ATP 500 de Pékin

 

"Si vous voulez jouer, vous jouez, si vous ne voulez pas, vous ne jouez pas"

"C'est génial d'être à Pékin, c'est un tournoi spécial pour moi" a commenté le tenant du titre, qui avait dominé Daniil Medvedev en finale l'an passé. "J'ai hâte d'entrer sur le court, il y a tellement de grands joueurs, comme l'année dernière." Au premier tour, l'Italien défiera Nicolas Jarry, avant de retrouver Jan-Lennard Struff ou Stan Wawrinka (wc).

Interrogé sur les propos de Carlos Alcaraz, qui estimait que le calendrier ATP était bien trop chargé pour un joueur, Sinner n'est pas allé dans le sens de l'Espagnol. "Oui, ces dernières années, le calendrier est assez long, mais il faut choisir. Bien sûr, il y a des tournois obligatoires, mais un joueur peut toujours choisir. Vous n'êtes pas obligé de jouer : si vous voulez, vous jouez, si vous ne voulez pas, vous ne jouez pas. Par exemple, cette année et l'année dernière, j'ai sauté quelques tournois parce que je voulais m'entraîner. Il y a des choix à faire. La saison est longue et ce n'est pas facile."

 

Publié le par Antoine GUILLOU

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