Monfils, battu en quarts : "Il y a beaucoup de positif !"
ATP - TorontoGaël Monfils aura vécu une très belle semaine au Masters 1000 de Toronto. De retour au top physiquement et en confiance, le Parisien, tombeur de Stefanos Tsitsipas puis d'Aleksandar Vukic, jouait vendredi son premier quart depuis l'Open d'Australie 2022. Son premier quart en Masters 1000 depuis.... Toronto 2021. Malgré un bon match, Monfils n'a pas pu réaliser une nouvelle perf' et s'est incliné contre Jannik Sinner, 6-4, 4-6, 6-3. Malgré 19 aces et 30 coups gagnants, la Monf' n'a pas pu faire craquer un Sinner, opportuniste dans la première manche avec un break sur la seule opportunité obtenue. La copie de Monfils reste tout de même de belle qualité face à un Sinner solide et désormais favori de l'épreuve. Les ambitions sont certainement revues à la pour la suite de la tournée US.
Toronto - Gaël Monfils stoppé par Jannik Sinner
Retrouvez ici le tableau du Masters 1000 de Toronto
"Repartir au boulot et bien jouer à Cincinnati, avec l'objectif de gagner un maximum de matches"
"On a toujours des regrets", a reconnu Monfils en conférence de presse, dans des propos rapportés par L'Equipe. "On se dit toujours : "J'aurais pu faire un peu mieux ceci, un peu mieux cela... Au premier set, quand je me suis fait breaker à 5-4, je me suis un peu précipité. Au troisième, il m'a breaké sur un jeu où je n'ai pas passé de premières balles... J'ai fait un match plein mais il a pris les meilleures décisions et été plus fort que moi. Il a aussi mieux servi dans les moments importants. Depuis mon arrivée aux États-Unis, je dis que mon objectif est de gagner quelques matches pour retrouver mon rythme. Si j'arrive à tenir Jannik aujourd'hui, c'est parce que j'ai gagné quelques matches avant et que j'ai accumulé de la confiance petit à petit. Il y a beaucoup de choses positives à prendre de ce quart de finale. C'est ce que je vais faire pour repartir au boulot et bien jouer à Cincinnati, avec l'objectif de gagner un maximum de matches." Cap sur Cincinnati désormais.
Publié le par Alexandre HERCHEUX