Le CNOSF a rappelé les recommandations pour les élections fédérales
FFTLe prochain président de la Fédération Française de Tennis sera connu le 14 décembre 2024, date de l'assemblée générale élective. Gilles Moretton, actuel président, affronte l'actuel président de la ligue Île-de-France, Germain Roesch. Pour info, l’élection du président de la FFT a commencé dès septembre : les présidents de clubs comptent pour la moitié des voix et les dirigeants de Ligues et de Comités pour la seconde. Le scrutin se terminera lors de l’assemblée générale élective du 14 décembre 2024. Comité national olympique et sportif français (CNOSF) a souhaité faire un rappel à toutes les fédérations avant les élections.
L'ENTRETIEN Gilles Moretton sur Tennis Actu
"Les candidats et leurs soutiens doivent adopter un comportement digne et mesuré"
"Le CNOSF souhaite réaffirmer que les candidats et leurs soutiens doivent adopter un comportement digne et mesuré. Afin que les campagnes électorales restent constructives, le respect de l’éthique demandé à cette occasion implique également des devoirs de réserve et de courtoisie. En outre, les candidats doivent bénéficier d’une grande liberté de paroles et d’opinion. Le CNOSF souhaite aussi souligner l’importance des comités d’éthiques fédéraux, qui, au sein de chacune des fédérations sportives membres, veillent au respect des principes éthiques et déontologiques pendant le déroulement de la campagne et des élections, ainsi qu’à l’équité dans le traitement des différents candidats. Le CNOSF tient aussi à rappeler le rôle essentiel de la Conférence des conciliateurs s'agissant des contentieux relatifs à ces élections. Pour mémoire, les statuts types des fédérations sportives agréées prévoient que celles-ci déterminent les conditions dans lesquelles les licenciés peuvent être candidats à l'élection pour la désignation des membres des instances dirigeantes de la fédération. Il appartient donc aux candidats de satisfaire aux critères d’éligibilité fixés par les fédérations au sein de leurs conditions statutaires pour être soumis au vote de l’Assemblée générale."
Publié le par Alexandre HERCHEUX