Garcia-Osaka, Cornet... le tirage des huit Françaises
Open d'AustralieJeudi, le tirage au sort des grands tableaux simples messieurs et dames de l'Open d'Australie 2024 a eu lieu dans la salle de presse principale de Melbourne Park. Un moment important pour les joueurs et les joueuses. Chez les Dames, les six Françaises présentes directement dans le grand tableau, puis les deux sorties des qualifs vendredi, sont fixées sur leur sort. Les principaux espoirs tricolores reposent sur Caroline Garcia mais la Lyonnaise n'aura pas la tâche facile...
Balles de match des Françaises et Français à Melbourne !
Retrouvez le tableau Dames de l'Open d'Australie 2024 ici
Dans la même partie que Gauff, Garcia va débuter par Osaka
Caroline Garcia n'a pas été vernie. La Lyonnaise, qui n'a disputé que des matchs en trois manches cette année, va commencer par Naomi Osaka, double vainqueur de l'épreuve, en 2019 et 2021. La Japonaise, jeune maman, reprend à peine mais elle reste tout de même un tour sérieusement piégeux. Si la Lyonnaise s'impose, elle s'ouvrira plutôt la route jusqu'en huitième puisque pourraient se présenter Magda Frech puis Anastasia Potapova. En deuxième semaine, la première adversaire probable est Coco Gauff. Il faudra une grand Caro pour aller chercher un résultat cette année à Melbourne. Notons que la Tricolore doit tout de même défendre un huitième de finale.
Cornet, Parry, Dodin, Gracheva et Burel fixées
Du côté des Françaises, le sort est également connu. Pour son 68e Grand Chelem consécutif, Alizé Cornet aura un coup à jouer contre une qualifiée, la Russe Maria Timofeeva. Deux Françaises joueront des têtes de série chinoises. Océane Dodin débutera contre Lin Zhu (n°29). La Nordiste s'ouvrira la voie en cas de perf'. Diane Parry a quant à elle rendez-vous avec Xinyu Wang (n°30). Varvara Gracheva partira favorite contre Yanina Wickmayer, tout comme Clara Burel contre Aleksandra Krunic. Qualifiées vendredi, Léolia Jeanjean et Fiona Ferro affronteront respectivement Caroline Dolehide et McCartney Kessler.
Publié le par Alexandre HERCHEUX