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Clément Chidekh : "Si j'ai la chance de revenir..."

Roland-Garros (Q)
Mis à jour le par Timothée THOMAS-COLLIGNON

Clément Chidekh est tout simplement tombé contre plus fort que lui ce mardi après-midi au premier tour des qualifications de Roland-Garros. Le jeune tricolore, 280e joueur mondial, n'a rien pu faire contre le Belge Zizou Bergs (6-1, 6-1). Réservé, le jeune tricolore de 22 ans avait quelques apréhensions quant aux encouragements du public, une "pression supplémentaire" qui l'a sans doute déstabilisé.

Clément Chidekh après sa défaite contre Zizou Bergs

 

Le tableau Hommes des Qualifications de Roland-Garros ici

 

"J'ai juste joué quelqu'un meilleur que moi"

"Zizou a fait un excellent match aujourd'hui. J'ai essayé de faire au mieux, je suis très content de ma préparation mais aujourd'hui j'ai juste joué quelqu'un meilleur que moi, qui m'a montré les points sur lesquels je dois encore travailler. Donc beaucoup de leçons à tirer, mais juste bravo à lui pour son match", commentait Clément Chidekh après la rencontre.

 

"Le public ? J'étais vraiment inquiet avant le match"

"Crispé par le fait de jouer ici ? Ça peut, c'était quelque chose pour lequel j'étais vraiment inquiet avant le match. En général, je suis quelqu'un d'assez discret, donc jouer avec du public m'ajoute une tension supplémentaire. Jouer avec du public m'a rajouté une pression supplémentaire mais aujourd'hui ce n'était pas le cas, j'étais capable de jouer le tennis que je pouvais jouer. Mais ça me motive encore plus pour retourner au travail. Et l'année prochaine, si j'ai la chance de revenir, j'essaierai de faire mieux."

 

"Le public français est un de ceux qui supporte le mieux"

"Jouer à Roland-Garros en tant que Français ? C'est dingue, c'est dingue... C'est vraiment spécial. Je pense que le public français en général est l'un des publics qui supporte le mieux ses joueurs. C'est vraiment une ode au sport, une vraie célébration du public et ça met le sourire aux lèvres, même dans un jour où ça ne se passe pas bien."

Publié le par Timothée THOMAS-COLLIGNON

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