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Vajda : "Si Novak fait le Golden Slam, on s'arrête..."

Roland-Garros
Publié le par Augustin PITRÉ

Le n°1 mondial a encore frappé ce dimanche. Novak Djokovic a réussi une prouesse exceptionnelle pour aller chercher son 2e Roland-Garros ce dimanche. Mené 7-6(6), 6-2 par Stefanos Tsitsipas, le Serbe s’est révolté pour finalement s’imposer 6-7(6), 2-6, 6-3, 6-2, 6-4 après 4h12 de match et soulever son 19e titre du Grand Chelem. Son coach Marian Vajda a de grandes ambitions  : "Bien sûr, l'objectif c'est de gagner les Jeux Olympiques et le Grand Chelem. Ce serait le meilleur qui pourrait arriver cette année.."

Le coach Marian Vajda évoque son joueur Novak Djokovic !

 

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Retrouvez le tableau Dames de Roland-Garros ici

 

"S'il fait le Grand Chelem, avec Goran on arrêtera"

Le coach Serbe pense que Nole a fait le plus dur dans la quête du Grand Chelem calandaire : "C'est vrai s'il arrive cette année à faire les quatre Grands Chelems, c'est la fin, on s’arrête avec Goran, c’est fini (rires). Non, non, en tant qu'entraîneur, j'arrête. Je crois que c'est possible parce qu’il adore jouer à Wimbledon et à l'US Open. Ce qui m'inquiétait plus, c'était la saison sur terre battue, parce que pendant une assez longue période de temps, 10 ans, il avait des bons résultats. C'est vrai, mais il aurait pu faire encore plus ici à Roland-Garros. (...) Donc Novak reste en forme et il est en pleine forme en ce moment. Il est vraiment en pleine forme en ce moment : tant que ça dure, je crois qu'il peut faire le Grand Chelem, en tout ce cas cette année. J'en suis quasiment certain."

 

"Je profite de ce trophée bien plus qu’en 2016 contre Andy"

"Mais Roland-Garros est, je crois, le Grand Chelem le plus difficile de l’histoire. Ça a toujours été le cas, parce que c'est de la terre battue, c'est fatigant pour les joueurs, et le schéma de jeu doit s'adapter à la terre battue. On passe par des hauts et des bas, des moments difficiles. Novak a réussi à le faire pendant ces deux semaines, en général. Il a été toujours là, et il a fait bien mieux que l'année dernière ici. Mentalement également (...) Vraiment, je profite de ce trophée bien plus qu’en 2016 contre Andy, parce que le niveau de tennis de Novak n'était pas le même, il était peut-être à ce moment-là… Comment dire ? C'était une première fois. Maintenant, il a pu réutiliser l'expérience pendant cette finale aujourd'hui."

Publié le par Augustin PITRÉ

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