Couacaud qualifié ! Gaston, Droguet et Cazaux "en finale"
US Open (Q)La journée était particulière ce vendredi à l'US Open. A cause de la pluie, le deuxième tour n'a pas pu se jouer intégralement jeudi. Conséquence, beaucoup de joueurs devaient finir ou disputer leur deuxième tour ce vendredi pour se donner une chance de viser le grand tableau. Ce n'était pas le cas d'Enzo Couacaud. Tombeur de Jaume Munar au premier tour, puis de Mikhail Kukushkin, le Français a su franchir le dernier obstacle, l'Italien Giulio Zeppieri. Malgré un faux-départ, il s'est imposé 3-6, 6-1, 6-1. Sorti des qualifs à l'US Open 2022, l'Open d'Australie en janvier puis Wimbledon, Couacaud devient le spécialiste des qualifs !
L'US Open 2023, du 28 août au 11 septembre !
Retrouvez ici le tableau des qualifications hommes de l'US Open
Droguet, Cazaux et Gaston s'offrent une finale
Les trois autres Français en lice ont brillamment remporté leur deuxième tour vendredi et devront revenir ce samedi pour jouer leur dernier tour. Les qualifs vont donc s'étendre sur une journée supplémentaire. Vainqueur d'Antoine Escoffier au premier tour, Hugo Gaston a remporté un sacré bras de fer contre le Japonais Yuta Shimizu. Le Toulousain avait perdu la première manche 6-4 mais menait 4-2 dans la seconde avant l'interruption. A la reprise, il a serré le jeu pour l'emporter 4-6, 7-6(6), 7-6(6). Gaston jouera sa place dans le grand tableau contre le Slovaque Lukas Klein. Arthur Cazaux, solide vainqueur de Zizou Bergs, menait 6-1 contre le Japonais Shintaro Mochizuki, 202e à l'ATP, avant d'être stoppé dans son élan. Il a bien repris ce vendredi, puisqu'il s'est imposé 6-1, 6-2 au final. En "finale", ce sera contre le tombeur du revenant John Millman, Stefano Travaglia. Enfin, Titouan Droguet, qui a cadenassé Cristian Garin au premier tour, avait joué vingt minutes face à Tennys Sandgren avant la pluie. Le temps pour l'Américain de se détacher 4-1. Le retour a été favorable à l'Essonien qui s'est imposé 2-6, 6-2, 7-5. Il jouera sa place dans le grand tableau face au Belge Kimmer Coppejans.
Publié le par Alexandre HERCHEUX