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Swiatek a rassuré : "Je vais bien... je suis prête à jouer"

Wimbledon
Publié le par Paul MOUGIN

Sacrée pour la 4e fois en Grand Chelem lors du dernier Roland-Garros, Iga Swiatek a su garder son trône et a donc une nouvelle fois été désignée tête de série n°1 de WimbledonReine incontestée du circuit depuis l'annonce de la retraite d'Ashleigh Barty, la Polonaise reste la favorite au titre même si le gazon n'est pas sa surface de prédilection. Alors qu'elle commencera dès lundi contre la Chinoise Lin Zhu, Swiatek a rassuré quant à son état physique. Fiévreuse avant sa demi-finale au WTA 250 de Bad Hombourg vendredi, la n°1 mondiale avait dû déclarer forfait.

Swiatek... son 3e sacre à Roland-Garros, son 4e Grand Chelem

 

Retrouvez ici le tableau Hommes de Wimbledon 2023

Retrouvez ici le tableau Dames de Wimbledon 2023

 

"L'an passé, j'ai ressenti beaucoup de pression"

"Je vais bien. Je suis prête et impatiente de commencer le tournoi. J'ai passé une très mauvaise nuit et j'ai à peine dormi. J'avais mal à l'estomac et je ne sais pas s'il y avait un problème ou non. Plus tard dans la journée je me suis sentie bien donc je suis sûre que tout ira bien. L'an passé, j'ai ressenti beaucoup de pression ici parce que j'étais n°1. S'habituer au gazon a toujours été délicat parce que quand vous jouez bien à Roland, vous avez moins de temps de préparation mais j'ai l'impression d'en voir fait un peu plus cette fois. C'est la première fois où j'ai pu me concentrer sur l'entraînement en apprenant beaucoup de choses. J'espère que je vais pouvoir me servir de tout ça en match."

 

"Je suis prête à jouer là où la WTA décidera qu'on joue"

Swiatek s'est ensuite exprimée sur la rumeur d'un tournoi qui pourrait se dérouler en Arabie Saoudite. "J'attends encore des informations officielles sur ce qu'il va en ressortir, parce que c'est difficile de distinguer ce qui est de la rumeur et ce qui n'en est pas. Je suis prête à jouer là où la WTA décidera qu'on joue. Certainement, en tant que communauté, je pense qu'on peut avoir un certain pouvoir, on pourrait s'en servir."

Publié le par Paul MOUGIN

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