Iga Swiatek : "Je m'attends à tout faire à 100%"
WTA - Indian WellsIga Swiatek continue sa route sans perdre de set à Indian Wells. Seulement battue par Barbora Krejcikova en février, la reine Iga dicte sa loi en ce moment sur le circuit WTA. Après n'avoir lâché qu'un jeu face à Claire Liu, la numéro 1 mondiale a dû s'employer un peu plus pour dominer Bianca Andreescu. Succès tout de même maîtrisé, 6-3, 7-6(1). Menée 4-2 dans la dernière manche, la Polonaise a su reprendre le contrôle pour finir et filer en huitième. Elle y affrontera Emma Raducanu. Le match contre la Canadienne a sans doute été un bon moyen de monter le niveau de jeu. Pour rappel, Swiatek pourrait affronter Caro Garcia en quarts.
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"J'ai juste essayé d'être dans le bon état d'esprit et d'être intelligente sur ce qui a fonctionné pendant tout le match"
"Avant le tournoi, je me suis dit que ce serait bien de vivre des moments de stress et de les surmonter. Mais pendant ce match, j'ai juste essayé d'être dans le bon état d'esprit et d'être intelligente sur ce qui a fonctionné pendant tout le match et ce qui n'a pas fonctionné. Je voulais aussi utiliser un peu l'aide de mon box, parce que le coaching est autorisé ici, et mon entraîneur n'était pas à Doha et à Dubaï. J'ai donc pensé qu'il pourrait me donner un peu plus de recul. Au final, je suis assez contente de la façon dont j'ai équilibré les choses, même si j'ai commis un peu plus d'erreurs pendant le deuxième set. Je suis heureuse d'être revenue", a-t-elle réagi après la rencontre.
"Me concentrer sur le processus et non sur les résultats"
La reine a ensuite expliqué son état d'esprit en Californie, elle qui peut être rattrapée par l'enjeu et la pression parfois. "Je m'attends à tout faire à 100 % et à me concentrer sur le processus et non sur les résultats. Et aussi, vous savez, avoir un peu plus confiance en moi dans mon tennis. Et aussi se rappeler que je ne suis pas influencée à 100% par ce qui va se passer pendant le match, donc parfois c'est plus facile quand vous sentez que tout ne repose pas sur vos épaules."
Publié le par Alexandre HERCHEUX