Swiatek : "C'est plus facile de poursuivre quelqu'un"
WTA - PékinIga Swiatek n'est plus aussi crainte sur le circuit WTA. Après avoir perdu son trône à l'US Open, la Polonaise, désormais deuxième mondiale, a chuté dès les quarts la semaine passée à Tokyo, contre Veronika Kudermetova, titrée de dimanche. Cette semaine, la native de Varsovie va tenter de faire mieux au WTA 1000 de Pékin. Il faudra bien commencer au premier tour contre Sara Sorribes. Une victoire lui permettrait de foncer sur Varvara Gracheva au deuxième tour. Avant de démarrer, la Polonaise a évoqué son état d'esprit après la perte du trône.
Tokyo - Swiatek éliminée par Kudermetova en quarts
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"Il est un peu plus facile de revenir à la mentalité de poursuivre quelqu'un"
"Je pense qu'il est un peu plus facile de revenir à la mentalité de poursuivre quelqu'un parce que c'est ce que nous avons fait toute notre vie. Il n'y a qu'une seule personne qui est numéro un. Je pense qu'il était plus difficile de s'y habituer la saison dernière. Au début, j'étais très enthousiaste et je sentais que je devais encore montrer aux gens que j'étais au bon endroit et que je méritais d'être numéro un. Je pense que j'ai gardé ce sentiment jusqu'à la fin de la saison 2022", a-t-elle expliqué.
"Je sens que je vais dans la bonne direction de toute façon"
Malgré les temps un peu plus compliqués, Iga Swiatek "Ce ne sera pas très différent, car je sens que je vais dans la bonne direction de toute façon. Il est certain que j'ai profité de ces deux semaines d'entraînement. Je me suis également rendu compte de la quantité de travail que j'ai à faire en pré-saison, car il y a beaucoup de choses que je veux améliorer. Mon entraîneur a également un bon plan. Parfois, il n'est pas possible de faire tout cela en deux semaines. Mais nous avons commencé à le faire. Je ne sais pas ce qu'il en sera lors des matches, car c'est une histoire totalement différente. Je me suis sentie un peu rouillée à Tokyo parce que, oui, après cette reprise, après trois semaines sans jouer de tournois, on peut se sentir un peu comme ça."
Publié le par Alexandre HERCHEUX