Tennis. ATP - Barcelone - Carlos Alcaraz : "S'adapter en moins d'un jour est compliqué"
Par Antoine GUILLOU le 15/04/2025 à 21:09
Tout juste titré sur la terre battue de Monte-Carlo dimanche, Carlos Alcaraz était déjà de retour aux affaires, ce mardi, à l'ATP 500 de Barcelone. Invaincu en Catalogne où il a remporté deux titres, l'Espagnol a débuté par une victoire étriquée contre le jeune américain Ethan Quinn (6-2, 7-6(6)). Il va enfin pouvoir se reposer, avant son huitième de finale prévu jeudi. "Carlitos" a voyagé sans son entraîneur principal Juan Carlos Ferrero, pas un problème majeur selon lui.
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Retrouvez ici le tableau de l'ATP 500 de Barcelone
"Je n'ai pas joué un tennis brillant"
"C'était un match un peu difficile" a reconnu Carlos Alcaraz, malmené par la 126e joueur mondial. "Je n'ai pas joué un tennis brillant, mais j'espère m'améliorer pour le prochain tour. Les conditions changent à chaque tournoi. S'adapter à tout ça en moins d'une journée, c'est compliqué. L'absence de Juan Carlos Ferrero ? Il m'écrit toujours, avant et après les matches. Nous sommes une équipe qui tire toujours dans la même direction. Samu (Lopez) ne me dit rien sans en parler d'abord à Juanki, et vice versa. Nous nous entendons tous très bien. Je fais confiance à Samu à 100 %, tout comme je fais confiance à Juanki : je sais que les deux se donnent à 100 %. Qu'il soit là ou pas, je ne vais pas dire que ce n'est pas un grand changement, mais ils sont tous les deux très importants."
"Si le Real Madrid gagne, ce sera grâce à la phrase de mon grand-père"
Mercredi soir, son équipe favorite, le Real Madrid, tentera de remonter trois buts de retard contre Arsenal en Ligue des champions. En conférence de presse, le coach madrilène Carlo Ancelotti a utilisé la fameuse expression d'Alcaraz "Du mental, du coeur et des c*uilles", ce qui a fait sourire le n°2 mondial. "Je l'ai vu et je n'arrivais pas à y croire. La devise de mon grand-père a fait du chemin (sourires). La vérité, c'est que c'est incroyable, c'est important à chaque match : que quelqu'un comme Carlo Ancelotti la garde à l'esprit en quart de finale de la Ligue des champions... évidemment, je suis très heureux que la devise de mon grand-père ait atteint une telle ampleur. Si le Real gagne, ce sera grâce à ça (rires) !"